Pas de transition de genre pour les enfants du Nouveau-Brunswick sans le consentement des parents
Nous félicitons le premier ministre Blaine Higgs pour sa directive pleine de bon sens adressée aux écoles publiques du Nouveau-Brunswick, exigeant qu’elles obtiennent le consentement des parents avant que les enseignants puissent faciliter la transition sexuelle de leurs enfants à l’école.
Le précédent gouvernement libéral provincial avait interdit aux enseignants d’informer les parents ou de demander leur consentement si un enfant voulait utiliser des noms et des pronoms de l’autre sexe à l’école. Les enseignants et les directeurs d’école avaient été invités à faciliter la transition sexuelle des enfants mineurs et à garder ce grand secret pour les parents, sur une partie incroyablement délicate de la vie de l’enfant. Comment cela pouvait-il bien se terminer ?
Ce sont les mères et les pères qui connaissent le mieux leurs enfants et qui les aiment le plus !
Les enfants ne peuvent pas donner de consentement éclairé
C’est pour une très bonne raison que les enfants ne sont pas autorisés à conduire une automobile, à se marier, à fumer des cigarettes, à boire de l’alcool, ni même à se faire tatouer sans le consentement de leurs parents !
C’est un fait scientifique que le cerveau des enfants n’est pas assez développé pour leur permettre d’avoir un bon jugement, ni de comprendre correctement les conséquences à long terme de décisions qui auront des répercussions sur leur vie entière. Le cortex préfrontal du cerveau — la partie qui régit la prise de décision, le jugement et la prévision des conséquences de ses actes — ne se développe pleinement qu’entre 20 et 25 ans. C’est pourquoi les enfants ne peuvent pas légalement donner leur consentement.
Cependant, les éducateurs radicaux d’extrême gauche veulent nous faire croire qu’un enfant peut choisir son sexe et vivre une double vie, différente de celle qu’il mène à la maison avec son père et sa mère !
Une poursuite pour garder les parents du Nouveau-Brunswick dans l’ignorance
Un groupe d’extrême gauche appelé l’Association canadienne des libertés civiles (ACLC) poursuit actuellement le gouvernement progressiste-conservateur de Blaine Higgs, cherchant à abroger sa directive sur les droits parentaux, afin que les enseignants puissent à nouveau tenir les parents dans l’ignorance de ce qui se passe dans la vie de leurs enfants. La Fédération des enseignants du Nouveau-Brunswick soutient la poursuite et a même demandé d’agir en tant qu’intervenant aux côtés de l’ACLC auprès du tribunal. Parallèlement, Susan Holt, chef du Parti libéral, s’est engagée à supprimer la politique du premier ministre Higgs en matière de droits parentaux si son parti forme le gouvernement.
Signez la pétition pour sauvegarder la notification et le consentement des parents
Le premier ministre Higgs ne doit pas faiblir face aux poursuites judiciaires ou à la pression de Susan Holt. Les Néo-Brunswickois doivent l’encourager à maintenir sa position sur les droits parentaux, alors signez la pétition ci-dessous pour dire au premier ministre Higgs :
"Je soutiens la politique de votre gouvernement qui exige que les écoles obtiennent le consentement des parents avant de faciliter la transition de genre de leurs enfants mineurs à l’école. Je vous demande instamment de lutter avec toutes les ressources de votre gouvernement contre toute action en justice visant à annuler votre politique relative au consentement parental. Je vous invite également à résister à toute pression politique qu’exercent les libéraux de Susan Holt pour que vous abandonniez votre politique en matière de consentement parental."