Petition

Empêchez les libéraux de Susan Holt d’abuser des maigres fonds publics consacrés aux soins de santé!

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Le Parti libéral du Nouveau-Brunswick veut détourner l’argent des contribuables des besoins réels en matière de soins de santé... pour payer plus d’avortements ! S’ils sont élus, ils retireront un argent dont le Nouveau-Brunswick a besoin pour remédier à la pénurie de médecins et d’infirmières, et l’utiliseront plutôt pour payer des avortements électifs pratiqués dans des établissements d’avortement privés et à but lucratif.

Susan Holt s’est engagée à détourner l’argent des contribuables vers des usines d’avortement privées.

Les libéraux ont promis d’abroger le règlement n° 84/20 du gouvernement du Nouveau-Brunswick, qui interdit d’employer l’argent des contribuables pour financer des avortements pratiqués dans des établissements privés. Ce règlement est en place depuis des décennies, tant sous les premiers ministres libéraux que ceux progressistes-conservateurs, par respect pour les valeurs pro-vie de nombreux Néo-Brunswickois... et pour leur argent durement gagné. Mais le respect des valeurs ancestrales — et de l’argent des contribuables — est maintenant mis de côté sous la direction libérale de Susan Holt, qui veut faire montre de vertu avec ces dépenses motivées par des considérations politiques.

Mais saviez-vous que 59 000 Néo-Brunswickois n’ont pas accès à un médecin de famille ?(1) Et qu’il y a une pénurie d’infirmières dans toute la province ? Pourtant, face à ces pénuries, les libéraux ont promis de subventionner des entreprises privées d’avortement à but lucratif, en finançant des avortements électifs médicalement inutiles, comme la Clinique 554 à Fredericton qui a récemment fermé ses portes parce qu’elle n’était pas assez rentable pour ses propriétaires.

Ne laissez pas Susan Holt donner la priorité au meurtre des bébés dans l’utérus et aux profits des entreprises privées d’avortement plutôt qu’aux véritables besoins en matière de soins de santé ! Il est déjà assez grave que les hôpitaux du Nouveau-Brunswick avortent chaque jour des enfants innocents à naître. Ne laissons pas cette tragédie s’aggraver en permettant à Susan Holt de donner l’argent des contribuables à des cliniques d’avortement privées !

Coûts d’opportunité des dépenses en avortements

Bien sûr, les Néo-Brunswickois pro-vie s’opposent à l’avortement parce qu’il s’agit d’une violation immorale aux droits de l’homme. L’avortement met injustement fin à une vie humaine innocente et enfreint le cinquième commandement de Dieu, « Tu ne tueras point ». 

Mais saviez-vous que cette « procédure » représente également une exploitation flagrante des contribuables par l’État ? Chaque avortement chirurgical coûte environ 1 000 $. Les avortements chimiques coûtent pratiquement la même chose. Et cela n’inclut même pas le coût pour le système de santé des complications liées à l’avortement, qui sont extrêmement fréquentes dans les deux types de procédures de mise à mort des bébés. Les complications les plus courantes sont les perforations utérines, la septicémie et l’hémorragie. Les effets secondaires à plus long terme comprennent un risque plus élevé de cancer du sein, d’infertilité, etc. Par conséquent, si l’on tient compte de ces complications courantes, le coût réel pour les contribuables peut facilement représenter le double (ou plus) du prix de la procédure controversée.

En tant que politique publique, le financement d’usines d’avortement privées avec l’argent des taxes destiné soins de santé n’a aucun sens. Tout d’abord, l’avortement est une tuerie, pas un soin de santé, et il est contraire aux droits de conscience des citoyens croyants et pro-vie de les forcer à participer à cet acte immoral en le finançant avec l’argent qu’ils ont gagné à la sueur de leur front.

De plus, il y a une énorme pénurie dans de nombreux domaines qui sont sous-financés en raison du manque d’argent. Par exemple, en ce qui concerne les technologues qui savent comment faire fonctionner les appareils d’IRM, les ultrasons et les scanneurs. Cette pénurie de personnel dans les hôpitaux du Nouveau-Brunswick fait que certains patients doivent attendre jusqu’à 644 jours(2) pour un examen d’imagerie diagnostique !

L’argent que Susan Holt veut consacrer à des avortements électifs privés ne devrait-il pas plutôt être utilisé pour former et embaucher davantage de technologues en imagerie nucléaire à temps plein ? Le salaire moyen d’un tel technologue est de 106 458 dollars(3), ce qui représente la charge pour le contribuable de 106 avortements électifs. Si l’on suppose que les coûts doublent en cas de complications, 53 avortements suffisent à payer le salaire d’un technologue à temps plein.

Le salaire annuel moyen d’une infirmière diplômée est d’environ 89 000 dollars. Pour un médecin de famille, il est d’environ 300 000 dollars. Cela représente la charge pour le contribuable d’environ 89 avortements électifs ou 300 avortements électifs, respectivement.

Non nécessaire d’un point de vue médical

En outre, tout le monde sait que la grossesse n’est pas une maladie, une blessure ou une affection. Presque tous les avortements sont pratiqués pour des raisons de convenance de mode de vie. Alors pourquoi dépenser les maigres ressources financières affectées aux soins de santé pour les détourné vers cette procédure médicalement inutile, au lieu de consacrer tout cet argent à l’embauche de 30 à 40 technologues en imagerie médicale supplémentaires à temps plein pour résorber le retard et répondre à la demande d’une population croissante et vieillissante ? Ou encore, pourquoi ne pas investir cet argent dans l’embauche de plus d’infirmières, surtout si l’on considère que le secteur des soins infirmiers souffre d’épuisement professionnel ! La priorité accordée par le Parti libéral du Nouveau-Brunswick aux entreprises d’avortement à but lucratif est immorale. 

Signez notre pétition pour exprimer votre opposition au détournement de l’argent des soins de santé du Nouveau-Brunswick au détriment des besoins en soins de santé généraux.

Veuillez signer la pétition ci-dessous :

« Je m’oppose totalement à ce que les rares dollars consacrés aux soins de santé au Nouveau-Brunswick soient détournés des nombreux domaines mal desservis où les besoins médicaux sont réels, comme la pénurie de médecins et d’infirmières, ou l’achat d’appareils d’IRM qui sauvent des vies, pour financer des avortements médicalement non nécessaires dans des usines d’avortement privées. Je veux que le gouvernement du Nouveau-Brunswick utilise chaque centime disponible pour répondre aux besoins médicaux réels, et non pour financer par raisons politiques des centres d’avortement privés à but lucratif. »

Notes:
1. Global News, « New Brunswick doctor waitlist falls to 59,000: ‘This will alleviate some of the stress" 
 », 20 janvier 2023.
2. CBC Shift - NB with Vanessa Vander Valk, "Radiology Bottleneck", 14 mai 2024
3. Indeed.com, « Nuclear medicine technologist salary in Canada », recherche effectuée le 5 septembre 2024

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Francois C. Dieppe, NB
Sep 10, 2024 - 11:17pm
Respectez mon argent. Pas d'avortements!